18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 10:21

Lettre ouverte à Hollande de David Van Reybrouck

L’écrivain et historien interpelle le président français sur le champ lexical guerrier de son discours, samedi 14 novembre, lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris Et sur la surenchère que cela pourrait entrainer.
 
 
 

 


 
 
4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 10:14

prochain concert

le 21 novembre à Abbaretz...

 

trio CYA
3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 17:33

1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 19:41

pendant les vacances !

Batz Malensac
1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 19:30

Depuis toujours, Nathan est un gamin à part, flottant dans sa bulle à lui, faite de schémas, de calculs, d'abstraction : un surdoué frôlant l'autisme. Tout change le jour où son prof, l'excentrique et tourmenté Mr Humphreys, l'inscrit aux Olympiades internationales de mathématiques. De la banlieue anglaise à Taïwan, dans un « camp d'ados » pour petits génies du monde entier, le film suit le fil classique du récit d'apprentissage, avec ses embûches, ses révélations et ses rencontres.

Malgré quelques facilités (flash­-back au ralenti !...), le film échappe à la mièvrerie grâce au goût du réalisateur pour le réalisme (il vient du documentaire) et à la délicatesse des interprètes. Tous émouvants et justes, du jeune Asa Butterfield à Sally Hawkins, qui dessine, sans jamais appuyer, un très beau portrait de mère aimante et épuisée. — Cécile Mury Télérama

 

28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:10

 

Thierry Taugourdeau, la cinquantaine, enchaîne les formations sans avenir et les rendez-vous à Pôle Emploi depuis qu'il a perdu son travail. Entre les traites de l'achat de la maison familiale et les frais de scolarité élevés de leur fils handicapé, Thierry et son épouse ne s'en sortent plus financièrement. Pris à la gorge, Thierry accepte un poste de vigile dans un supermarché. Il est bientôt confronté à des situations difficiles...

24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 11:23

HUMAN est un diptyque de récits et d’images de notre monde pour créer une immersion au plus profond de l’être humain.

À travers les témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence, HUMAN nous confronte à l’Autre et nous renvoie à notre propre vie. De la plus petite histoire du quotidien, jusqu’aux récits de vie les plus incroyables, ces rencontres poignantes et d’une sincérité rare, mettent en lumière ce que nous sommes, notre part la plus sombre mais aussi ce que nous avons de plus beau et de plus universel. La Terre, notre Terre, est sublimée au travers d’images aériennes inédites accompagnées de musique tel un opéra, qui témoignent de la beauté du monde et nous offrent des instants de respiration et d’introspection.

HUMAN est une œuvre engagée qui nous permet d’embrasser la condition humaine et de réfléchir au sens même de notre existence.

24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 11:18

Sud de la France.
Dans la chaleur du mois d'août, Geronimo, une jeune éducatrice veille à apaiser les tensions entre les jeunes du quartier Saint Pierre.
Tout bascule quand Nil Terzi, une adolescente d'origine turque s'échappe de son mariage forcé pour retrouver son amoureux, Lucky Molina, un jeune gitan.
Leur fuite met le feu aux poudres aux deux clans. Lorsque l'affrontement éclate en joutes et battles musicales, Geronimo va tout tenter pour arrêter la folie qui embrase le quartier.

14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 18:10

je regarde peu de films puisque je me suis plongée dans une série sympa!!!

 

 

14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 18:03

George Clooney, moustachu, en pyjama au milieu du désert, un pansement sur le nez et une chèvre dans les bras. Jeff Bridges, gourou à cheveux longs en plein trip LSD. Et les deux, dansant, en treillis, sur un tube de Billy Idol ! Le premier film de Grant Heslov (comédien, mais aussi producteur d'Intolérable Cruauté) fait vraiment penser à une comédie branque des... frères Coen ! Le scénario, surtout. Un journaliste largué par sa femme (elle est partie vivre avec un manchot) végète dans un palace du Moyen-Orient en attendant le scoop de sa vie. Il rencontre un drôle de type qui prétend avoir été soldat d'une division top secret dans les années 70. Ces « moines guerriers », ces Jedi, comme ils se surnommaient eux-mêmes, étaient censés, avec le soutien du Pentagone, développer des pouvoirs paranormaux : voyager en pensée, pénétrer l'esprit de l'ennemi, traverser les murs ou tuer une chèvre d'un simple regard ! Intrigué par le récit de ce dingue, le journaliste décide de le suivre en mission en Irak, car l'ancien « super soldat » prétend avoir été réactivé...

Une pure « déconnade » ? Sauf qu'à quelques détails près tout, dans cette farce militaro-beatnik, est rigoureusement... vrai ! En adaptant le livre d'entretiens, à la fois bidonnants et terrifiants, de Jon Ronson sur les expériences parapsychologiques menées par l'armée américaine, Grant Heslov joue sur du velours. Sa mise en scène est un peu impersonnelle, certes, mais l'histoire, poilante, donne l'occasion à Clooney et à Bridges de peaufiner leurs numéros d'autodérision respectifs : George en grand benêt et Jeff en super baba cool. Qu'on ne s'y trompe pas, cependant : le film n'est pas qu'une parodie désopilante de la confondante bêtise de l'Amérique en guerre. Dans un camp militaire en Irak, soudain, ces cousins illuminés des Rois du désert en pleine « mission » découvrent comment l'armée américaine peut transformer des crétineries new age en nouvelles méthodes de torture - comme ce fut le cas dans la prison d'Abou Ghraib, sous l'administration Bush. Si le Pentagone était vraiment pacificateur, les Jedi traverseraient les murs...