25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 14:10

 

 

 

 

18 mai 2016 3 18 /05 /mai /2016 10:12

15 avril 2016 5 15 /04 /avril /2016 14:45

 

 

4 avril 2016 1 04 /04 /avril /2016 17:26

 

13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 12:13

D’un petit village du sud de l’Iran aux cités parisiennes, Kheiron nous raconte le destin hors du commun de ses parents Hibat et Fereshteh, éternels optimistes, dans une comédie aux airs de conte universel qui évoque l’amour familial, le don de soi et surtout l’idéal d’un vivre-ensemble.

8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 19:18

 

Avec le temps, certains cinéastes s'assagissent. Pas Maïwenn, qui continue de prendre les émotions à bras-le-corps, de les tordre et les distordre sans fausse pudeur. Après Polisse, son film « policier » si personnel, elle revient à l'énergie brute de Pardonnez-moi, son premier long métrage déjà très autobiographique, pour cette histoire de passion destructrice où une femme finit rompue à force d'aimer « le roi des connards ». Giorgio se présente ainsi, lors de sa première nuit avec Tony, une séquence d'un naturel et d'une crudité verbale irrésistibles. Il est plus séduisant que dix hommes réunis, partager son existence est une promesse de vivre plus fort. Alors, elle signe pour un mariage avec enfant, tromperie, mensonges, regains de bonheur tonitruants, alcool qui console et calmants à dose létale. Dix ans de montagnes russes, jusqu'à la chute.

Ce film est une tempête. Un précipité amoureux. Chaque scène, comique ou tragique, est saisissante. Chez Maïwenn, une simple scène de drague prend une tournure insolite et désopilante : « donner son téléphone » à une fille, c'est la forcer à le rattraper. Et la visite d'un appartement devient un moment d'une rare violence pour une femme qui réalise, soudain, que son mari s'apprête à la délaisser... Rendre leur virginité à des chemins mille fois empruntés, c'est la force de Maïwenn, de son cinéma-vérité. Un cinéma foncièrement honnête, qui se refuse à juger : Mon roi n'est pas le portrait à charge d'un pervers narcissique, mais un film sur l'addiction amoureuse et ses mystères. La réalisatrice confie tout de même à Louis Garrel (si tendre, si drôle dans le rôle du frère de Tony) le soin d'incarner le témoin lucide de l'histoire : être, en quelque sorte, l'oeil du spectateur. On sait le talent de Maïwenn pour diriger ses interprètes. Avec Mon roi, elle se surpasse. Emmanuelle Bercot, impliquée corps et âme dans les rires, les cris et les larmes, mérite bien son prix d'interprétation à Cannes. Mais le film repose, surtout, sur le jeu captivant de Vincent Cassel — philtre d'amour et poison ravageur dans la même seconde. On est comme Tony : jusqu'à la fin, on ne peut quitter ce roi des yeux. — Guillemette Odicino

29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 11:59

 

 

 

 

1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 15:00

Dheepan, ancien Tigre tamoul, cherche à quitter un Sri Lanka où la guerre civile s'achève. Pour ce faire, il voyage jusqu'en Europe avec une femme et une petite fille qu'il ne connaît pas, afin de présenter aux douanes françaises l'image d'une famille, qui lui permettra d'obtenir plus facilement un visa. Cette avec cette famille construite de toutes pièces que Dheepan est bientôt logé dans une barre d'immeubles en banlieue parisienne. Devenu gardien de l'endroit, il découvre une zone contrôlée par des criminels, où la violence est quotidienne...

Sam, journaliste indépendant, mène une enquête sur les milieux intégristes de la banlieue parisienne. Depuis six mois, il profite de sa culture musulmane pour les infiltrer. Dans une mosquée clandestine, il sympathise avec Driss, Sidi et Christophe, trois jeunes sans repères prêts à faire le jihad. Un jour, le mystérieux Hassan leur annonce qu'ils ont reçu pour mission de créer une cellule d'Al-Qaïda et semer le chaos dans Paris. Paniqué par la situation, Sam s'empresse d'informer la police de l'existence de cette cellule dangereuse. Complice malgré lui, il est contraint de renseigner la police des faits et gestes de ces apprentis djihadistes...

19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 21:00

Le quartier de South Boston dans les années 70. L'agent du FBI John Connolly convainc le caïd irlandais James "Whitey" Bulger de collaborer avec l'agence fédérale afin d'éliminer un ennemi commun : la mafia italienne. Le film retrace l'histoire vraie de cette alliance contre nature qui a dégénéré et permis à Whitey d'échapper à la justice, de consolider son pouvoir et de s'imposer comme l'un des malfrats les plus redoutables de Boston et les plus puissants des États-Unis.

11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 09:03

Depuis toujours, Dieu habite à Bruxelles. Personnage fruste et autoritaire, il est odieux avec sa femme et sa fille, EA. Un jour, cette dernière, excédée par son comportement, décide de parasiter le logiciel de son père et de communiquer à tous les humains la date précise de leur mort. Elle se rend ensuite sur Terre, sur les conseils de son frère, bien décidée à recruter de nouveaux apôtres en vue de la constitution d'un nouveau testament. Elle croise rapidement des personnages très particuliers...