31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 19:43

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Rhoda Williams, brillante jeune diplômée en astrophysique, rêve d'explorer l'espace. Sa vie est bouleversée quand une planète semblable à la Terre est découverte. C'est alors qu'elle provoque un très grave accident entraînant la mort de la famille de John Burroughs, un compositeur au sommet de sa carrière. Rhoda acquitte sa peine de prison et refuse de retrouver une vie normale. Par un curieux hasard, les chemins de Rhoda et John vont à nouveau se croiser.  

Merci Edith pour cette jolie découverte

31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 09:26

972-1007-thickbox.jpgRongé par le remords de n’avoir pas eu le courage de parler, Miklus se décide à raconter les siens, ces Roms qui vivent depuis des décennies sur une rive slovaque du Danube. Le jour où Lubko, le gadjo est arrivé avec son violon chez les Tziganes, voleurs de poules, la communauté s’est égayée.

31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 09:13

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Marc Marronnier, critique littéraire le jour et chroniqueur mondain la nuit, vient de divorcer d'Anne. Après plusieurs années de vie commune, il doit se rendre à l'évidence : l'amour ne dure que trois ans. Il a même écrit un pamphlet pour le démontrer mais sa rencontre avec Alice, la femme de son cousin et une photographe exubérante, va ébranler toutes ses certitudes. Une idylle se noue entre eux alors que le livre de Marc est sur le point de sortir.   

29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 10:20

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 15:20

Nathalie a tout pour être heureuse. Elle est jeune, belle, et file le parfait amour. La mort accidentelle de son mari va couper son élan. Pendant des années, elle va s'investir dans son travail, mettre entre parenthèse sa vie sensuelle. Mais subitement, sans qu'elle comprenne vraiment pourquoi, elle embrasse un de ses collègues: Markus, un homme très atypique. S'ensuit alors la valse sentimentale de ce couple hautement improbable qui va susciter interrogation et agressivité au sein de l'entreprise. Choisit-on vraiment par quel moyen on renaît à la vie ?   

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Elle a perdu l'homme quelle aimait et ne s'en remet pas. Cette jolie veuve va pourtant réapprendre à sourire grâce à un type banal : enfin, ça, c'est ce que croient les autres, ceux qui ne le connaissent pas... En portant à l'écran son best-seller - avec son frère comme coréalisateur -, David Foenkinos n'évite pas quelques maladresses : une coquetterie par-ci, une gaucherie par-là. On les lui pardonne tant il s'attache à contredire avec finesse, scène après scène, cette phrase que tout le monde a entendue un jour en présentant à ses amis l'élu(e) de son coeur : « Tu mérites mieux ! » Or non : l'amour est inattendu, improbable. Et même indiscutable quand le type « banal » a l'humour tendrement burlesque d'un François Damiens. Il n'a qu'à dire « Je pourrais partir en vacances dans vos cheveux » à Audrey Tautou (délicieuse petite boule de chagrin qui se débride) pour faire mentir tous les incrédules..Guillemette Odicino Télérama

19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 09:57

image_2383.jpgDes femmes vêtues de noir avancent vers un cimetière. En dansant... Au bord des tombes, le cortège se scinde : les unes se dirigent vers les croix, les autres vers les croissants. C'est l'ouverture, impressionnante, du deuxième film de la Libanaise Nadine Labaki, quatre ans après les séduisants portraits de femmes entre elles de Caramel. Les héroïnes d'Et maintenant, on va où ? sont, elles aussi, des résistantes : toutes ont survécu aux deuils, à la violence, à la haine de la guerre civile, dans un village de montagnes entouré de mines où la paix reste précaire. Le pays n'est jamais identifié - même si l'on pense très fort au Liban -, pour donner une portée universelle à une fable futée et surprenante. Car les femmes, lassées de pleurer leurs morts, sont prêtes à tous les mensonges (on vous laisse le plaisir de découvrir lesquels) pour distraire leurs maris, fils et frères de leurs pulsions bellicistes. Le tout avec l'aide, inattendue et drôle, d'un imam et d'un curé, plus tolérants que leurs ouailles masculines.

Burlesque pur qui bascule soudainement dans le tragique, scènes de café naturalistes qui se transforment en univers en-chanté à la Demy : le charme du film doit beaucoup aux ruptures de ton osées par Nadine Labaki et sa troupe - énergique - de comédiens. Ce mélange de fantaisie et de gravité est, parfois, un peu foutraque, mais terriblement attachant.



Samuel Douhaire Télérama

19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 09:49

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 16:44

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Dans un jardin public, deux enfants de 11 ans se bagarrent et se blessent. Les parents de la « victime » demandent à s'expliquer avec les parents du « coupable ». Rapidement, les échanges cordiaux cèdent le pas à l'affrontement. Chacun des couples remettant en question la manière dont l'autre élève sa progéniture. Où s'arrêtera le carnage ?   

11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 16:40

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"Toutes les histoires sont des histoires d'amour", déclare Robert McLiam Wilson en exergue. Certes, l'amour mène le monde... et les héros de son roman par le bout du nez. Mais quoi, faudrait-il céder à la fureur ambiante et finir par poser des bombes pour imposer sa vision - forcément borgne - d'un monde devenu fou ? Si Belfast ne regorge pas uniquement de terroristes en armes, elle a cependant ce petit quelque chose qui rompt avec la monotonie des villes tranquilles... Car à Belfast, lorsqu'on ne soigne pas les blessures d'un coeur lacéré, il faut lutter pour s'en sortir, tout simplement tenter de survivre. C'est le lot commun de Jake, Chuckie ou les autres, emblèmes d'une génération sacrifiée qui se recroqueville sur elle-même et qui, si elle perd espoir, n'est jamais à court d'ironie ou de générosité fraternelle. Eureka Street, c'est le roman de la guerre et de la paix avec des paumés en guise de héros et une ville crucifiée pour champ de bataille. Mais c'est aussi un hymne humble, savoureux, complice et drôle fait à la ville natale de l'auteur : "Belfast - un simple fouillis de rues et quelques grosses collines, un simple murmure de Dieu".

4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 16:47

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