17 septembre 2016 6 17 /09 /septembre /2016 17:43
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à vos agendas...
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à vos agendas...
25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 14:10

 

 

 

 

25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 14:08

Etienne Davodeau est auteur de bande dessinée.
Benoît Collombat est grand reporter à France Inter.
L'un est né en 1965, l'autre en 1970.
Ils ont grandi sous la Ve République fondée par le général de Gaulle, dans un pays encore prospère, mais déjà soumis à la "crise".

L'Italie et l'Allemagne ne sont pas les seules nations à subir la violence politique.
Sous les présidences de Pompidou et de Giscard d'Estaing, le pays connaît aussi de véritables "années de plomb" à la française.

Dans ces années-là, on tue un juge trop gênant. On braque des banques pour financer des campagnes électorales. On maquille en suicide l’assassinat d'un ministre. On crée de toutes pièces des milices patronales pour briser les grèves. On ne compte plus les exactions du Service d'Action Civique (le SAC), la milice du parti gaulliste, alors tout-puissant.
Cette violence politique, tache persistante dans l'ADN de cette Ve République à bout de souffle, est aujourd'hui largement méconnue.

En sillonnant le pays à la rencontre des témoins directs des évènements de cette époque - députés, journalistes, syndicalistes, magistrats, policiers, ou encore anciens truands-, en menant une enquête approfondie, Etienne Davodeau et Benoît Collombat nous révèlent l'envers sidérant du décor de ce qui reste, malgré tout, le cher pays de leur enfance...

25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 14:05

Au xviie siècle, dans les espaces sauvages du Canada, les voix d’un jeune jésuite français, d’un chef de guerre huron et d’une captive iroquoise tissent l’écheveau d’une fresque où se confrontent les traditions et les cultures. Trois personnages réunis par les circonstances, divisés par leur appartenance. Car chacun mène sa propre guerre : l’un pour convertir les Indiens au christianisme, les autres, bien qu’ennemis, pour chasser ces « Corbeaux » venus prêcher sur leur terre. Un livre à la prose superbe, dont la teneur historique n’exclut aucune des questions contemporaines que sont la place du commerce, la prégnance de la foi ou la cohabitation des cultures.

 

 

25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 14:02

 

"L'idée de Samuel était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé.
Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne ..."

et donc à suivre:

25 juillet 2016 1 25 /07 /juillet /2016 13:54

 

Un jeune couple s'installe dans une maison en apparence abandonnée. Leur idée? La rénover. Tandis qu'elle chantonne et jardine, lui, à pas prudents, essaie - en remuant les murs et la poussière - de retrouver ses souvenirs dans ce lieu qu'il habita enfant, avant que la mort soudaine de son père coupe le temps en deux. Dans ce paysage d'herbes folles et de rivière, ce sont les gestes les plus simples, les événements les plus ordinaires qui vont réenchanter la vie. La petite voisine, la canne à pêche, les ragondins, le mélodica, le frère...
Dans ce roman, aérien et grave, Thomas Vinau aborde avec la légèreté d'un peintre d'estampes la douleur de l'absence, la fragilité de l'existence, l'art du recommencement.

10 juin 2016 5 10 /06 /juin /2016 15:25
10 juin 2016 5 10 /06 /juin /2016 14:35